Enfin, je prends le temps de raconter un peu ce week-end qui ma foi fut bien sympathique. Dans l'ensemble, et comme le dit clairement mon titre, faire un peu de LDP (langue de pute) sur ces bons aussies ET en français ne m'a fait que du bien :) enfin nous a fait du bien...
Merci Jetstar
Après deux heures passées dans les transports en commun de Melbourne et sa banlieu, j'atteins enfin l'aéroport perdu au milieu de rien (un peu comme celui de Beauvais) et le terminal (sorte de préfabriqué en carton) de la compagnie low cost Jetstar. Et là, quelle ne fut pas ma joie de découvrir que l'avion avait 40 min de retard pour cause de mauvais temps. Réjouie par la nouvelle, je prends mon mal en patience, m'achète un sandouiche dégueu et cher, et puis finalement tant mieux, je vais pouvoir lire tranquillement mes cours de marketing international et surtout mieux comprendre pourquoi Coca n'a jamais réussi à s'implanter en Inde. Nous décollons enfin, et, toujours chanceuse, je suis à côté d'un couple, du genre jeunes mariés... J'aurais pu mourir à côté d'eux, ils n'auraient pas remarqué je pense. Bref, le voyage durant deux heures en tout, au bout d'une heure et demi nous commençons à aterrir. Et c'est là que les choses sérieuses commencent. C'est presque la tempête dehors et on sent que l'avion il en chie un peu. Au final, nous aterrissons après une bonne demi heure de secousses qui auront réussi à me filer une bonne grosse g.. envie de vomir pardon. Par contre un des passagers à l'avant de l'avion n'aura pas eu le même "self control" que moi (je vous épargne les détails sonores et olfactifs). Un aterrisage comme on en rêve quoi... C'est donc toute pâle et nauséeuse que je retrouve (enfin) Marie qui m'attendait aux bagages sur les coups de minuit passé après avoir qd même lancé une annonce dans tout l'aéropot pour me retrouver. Sa coloc très sympa était venue me chercher en voiture, heureusement... Bref après un bon voyage de 6h je découvre le palace dans lequel vit Marie. Une sorte de résidence ultra sécurisée avec vue sur le pont de Brisbane et sur le fleuve. Un truc de gros bourges un peu avec spa, piscine et salle de gym. Ca me change de ma chambre de 9m² et ce n'est pas plus mal :) . Vraiment y'en a qui se font pas chier :)
Samedi et dimanche, fin de la saison des pluies...
Etant de nature chanceuse, le week-end dernier marquait la fin d'une semaine de pluie et de tempête ayant fait rage à Brisbane et ses environs. Il faut savoir qu'en gros il n'avait pas plu depuis 6 mois et forcément, rien que pour moi, je tombe sur LA semaine de déluge. Bon heureusement, le pire était passé quand je suis arrivée. Nous décidons donc de revoir nos plans et nous passons finalement les deux premiers jours à Brisbane. Entre salle de gym, gros jacuzi (tous les soirs d'ailleurs), ciné et promenade dans la ville, on a pu bien prendre notre temps pour se reposer mais surtout pour entretenir notre bonne vielle langue française à la sauce LDP :) Un des moments forts de ces deux jours a été le petit dèj que l'on s'est fait le samedi midi. Canadian breakfast pour moi, toast pour Marie. En gros ça a donné ça (avant, après) :
Après deux heures passées dans les transports en commun de Melbourne et sa banlieu, j'atteins enfin l'aéroport perdu au milieu de rien (un peu comme celui de Beauvais) et le terminal (sorte de préfabriqué en carton) de la compagnie low cost Jetstar. Et là, quelle ne fut pas ma joie de découvrir que l'avion avait 40 min de retard pour cause de mauvais temps. Réjouie par la nouvelle, je prends mon mal en patience, m'achète un sandouiche dégueu et cher, et puis finalement tant mieux, je vais pouvoir lire tranquillement mes cours de marketing international et surtout mieux comprendre pourquoi Coca n'a jamais réussi à s'implanter en Inde. Nous décollons enfin, et, toujours chanceuse, je suis à côté d'un couple, du genre jeunes mariés... J'aurais pu mourir à côté d'eux, ils n'auraient pas remarqué je pense. Bref, le voyage durant deux heures en tout, au bout d'une heure et demi nous commençons à aterrir. Et c'est là que les choses sérieuses commencent. C'est presque la tempête dehors et on sent que l'avion il en chie un peu. Au final, nous aterrissons après une bonne demi heure de secousses qui auront réussi à me filer une bonne grosse g.. envie de vomir pardon. Par contre un des passagers à l'avant de l'avion n'aura pas eu le même "self control" que moi (je vous épargne les détails sonores et olfactifs). Un aterrisage comme on en rêve quoi... C'est donc toute pâle et nauséeuse que je retrouve (enfin) Marie qui m'attendait aux bagages sur les coups de minuit passé après avoir qd même lancé une annonce dans tout l'aéropot pour me retrouver. Sa coloc très sympa était venue me chercher en voiture, heureusement... Bref après un bon voyage de 6h je découvre le palace dans lequel vit Marie. Une sorte de résidence ultra sécurisée avec vue sur le pont de Brisbane et sur le fleuve. Un truc de gros bourges un peu avec spa, piscine et salle de gym. Ca me change de ma chambre de 9m² et ce n'est pas plus mal :) . Vraiment y'en a qui se font pas chier :)
Samedi et dimanche, fin de la saison des pluies...
Etant de nature chanceuse, le week-end dernier marquait la fin d'une semaine de pluie et de tempête ayant fait rage à Brisbane et ses environs. Il faut savoir qu'en gros il n'avait pas plu depuis 6 mois et forcément, rien que pour moi, je tombe sur LA semaine de déluge. Bon heureusement, le pire était passé quand je suis arrivée. Nous décidons donc de revoir nos plans et nous passons finalement les deux premiers jours à Brisbane. Entre salle de gym, gros jacuzi (tous les soirs d'ailleurs), ciné et promenade dans la ville, on a pu bien prendre notre temps pour se reposer mais surtout pour entretenir notre bonne vielle langue française à la sauce LDP :) Un des moments forts de ces deux jours a été le petit dèj que l'on s'est fait le samedi midi. Canadian breakfast pour moi, toast pour Marie. En gros ça a donné ça (avant, après) :
J'en ai également profité pour m'acheter une nouvelle paire de lunettes de la fameuse marque "Donatella". Au passage une petite photo de l'essayage :)
Dimanche et lundi : en route pour la Grosse Beach
Levées pas trop tard, nous avions la ferme intention de sortir de la ville pour aller découvrir les plages de la Gold Coast à environ une heure en train au sud de Brisbane. Au programme de la journée, Surfer Paradise. En gros, si tu aimes te balader le long de la beach avec tes tongues havaninas que tu viens d'acheter, ton nouveau bikini quicksilver et ton gros Mac Oz (sorte de Big mac avec un bout de betterave en plus) dans les mains, Seurfeur paradize est the place to be. Rapidement décrit, ça donne ça : Buildings moches + plage de sable fin avec poufs et gros kékés en toile de fond. Bref, c'est relativement laid mais la plage est belle.
En tout cas là-bas, aucun souci si tu n'as pas prévu de petits snacks pour la journée ou que tu as oublié ton maillot de bain, il y a au moins 10 fast food par rue et un Quicksilver/Ripcurl tous les trois mètres (pour le plus grand bonheur de Marie). Sauf que nous sommes organisées et il était hors de question de mettre un sous dans un hamburger. Nous avons préféré la petite salade thon-maïs-tomates au bord de la plage. Le vent ayant raison de nous et ne pouvant pas nous baigner de toute façon, nous avons finalement pris le chemin du retour après biensur qqs passages dans les différents surfeurs shops. Petite anecdote sur le retour tout de même. Nous tombons sur Bobby, Enzo, Gregory et le reste de l'équipage, groupe de marins français venus de Nouméa et ayant débarqué à Brisbane deux jours auparavant. N'étant pas de grands champions de la langue anglaise, ils étaient bien contents de tomber sur deux petites frenchies pour agrémenter leur soirée. Nous invitant à boire un verre, nous les suivons donc dans un pub pas loin de chez nous en nous disant que ça fera des choses à raconter :) et puis surtout une bière gratis ne se refuse pas (enfin ça c'est surout moi). Et effectivement, ça valait le coup. Entre le Enzo tout bourré qui voulait embrasser un bon macho d'Aussie et le Grégory, jeune beau célibataire (affamé) de 40 ans, on s'est bien fendu la poire. Une petite photo souvenir avant de partir tout de même.
Le lundi, nous décidons de faire dans le "wild". Levées encore plus tot, nous prenons le train direction cette fois Stradbroke Island, sorte de Belle Ile en mer australienne, en plus beau. Pour le coup, nous ne sommes pas déçues. L'île est pratiquement déserte et les paysages sont magnifiques. Je vous laisse admirer les photos.
Petit détail amusant, les plages étaient constellées de petite méduses bleues échouées sur le sable et qui sous l'action du soleil se mettent à gonfler. Du coup le gros jeu sur la plage c'est d'aller faire "péter les méduses". Les australiens ont inventé le pétard DD, trop forts ;)
Voilà en gros pour ce bon petit week-end. Le retour à Melbourne s'est fait plus facilement que l'aller, bien que la perspective de retrouver ma chambre naine n'était pas trop réjouissante après tant de luxe...
En tout cas, on a bien pourri les Aussies, et finalement c'est bien ça le plus important.